Ilot de Chaleur – ilot de fraicheur
Argumentaire
Chaleur extrême
Risque à Montréal
Plusieurs vagues de chaleur ont frappé les pays occidentaux au cours des dernières années et Montréal n’a pas été épargné. À Montréal, les autorités de santé publique estiment qu’une vague de chaleur extrême pourrait avoir des conséquences sanitaires particulièrement graves. L’agglomération de Montréal, en collaboration avec l’Agence de santé et des services sociaux, a développé un plan particulier d’intervention pour faire face aux vagues de chaleur extrême et minimiser les impacts sur la population. Ce plan a été mis en place en juillet 2010, lorsque pendant plusieurs jours, les températures ont été supérieures à 33°C sur la métropole.
À Montréal comme dans plusieurs grandes villes du monde, l’urbanisation et la perte d’espaces verts ont mené à la création d’îlots de chaleur urbains. Ces derniers apparaissent lorsque la végétation est remplacée par des espaces bétonnés. Dans ces îlots, la température peut être largement supérieure à celles que l’on enregistre en périphérie. À Montréal, ces ilots se retrouvent principalement dans les secteurs fortement industrialisés. Au niveau des secteurs résidentiels, ce sont les secteurs les plus densément peuplés et minéralisés qui sont les plus touchés.
Argumentaire
Chaleur extrême
Risque à Montréal
Plusieurs vagues de chaleur ont frappé les pays occidentaux au cours des dernières années et Montréal n’a pas été épargné. À Montréal, les autorités de santé publique estiment qu’une vague de chaleur extrême pourrait avoir des conséquences sanitaires particulièrement graves. L’agglomération de Montréal, en collaboration avec l’Agence de santé et des services sociaux, a développé un plan particulier d’intervention pour faire face aux vagues de chaleur extrême et minimiser les impacts sur la population. Ce plan a été mis en place en juillet 2010, lorsque pendant plusieurs jours, les températures ont été supérieures à 33°C sur la métropole.
À Montréal comme dans plusieurs grandes villes du monde, l’urbanisation et la perte d’espaces verts ont mené à la création d’îlots de chaleur urbains. Ces derniers apparaissent lorsque la végétation est remplacée par des espaces bétonnés. Dans ces îlots, la température peut être largement supérieure à celles que l’on enregistre en périphérie. À Montréal, ces ilots se retrouvent principalement dans les secteurs fortement industrialisés. Au niveau des secteurs résidentiels, ce sont les secteurs les plus densément peuplés et minéralisés qui sont les plus touchés.