Notre proposition
Le Jardin Notman : Oasis urbaine culturelle
Projet parc – Espace vert et naturel de ressourcement
Proposition préliminaire déposée à l'Arrondissement du Plateau-Mont-Royal
1. Particularités
2. Structure de cogérance
3. Volet culturel
4. Aménagement et ameublement
5. Accès
6. Centre d’interprétation
Particularités physiques du terrain en question
• Un espace naturel de 1000m2 avec un petit bâtiment qui comporte un garage avec un appartement à l’étage
• entouré par une clôture type Frost d’environ 7 pieds.
• un boisé naturel qui est laissé à l’état naturel depuis le début des années 1990.
• Un couvert arborescent dense qui comprend une trentaine d’arbres, dont des arbres centenaires et d’essences rares, voire menacées, qui représentent une grande valeur.
• une biodiversité importante à toutes les strates végétales (arbres, buissons, sol, insectes, oiseaux, etc.)
• Un espace naturel de 1000m2 avec un petit bâtiment qui comporte un garage avec un appartement à l’étage
• entouré par une clôture type Frost d’environ 7 pieds.
• un boisé naturel qui est laissé à l’état naturel depuis le début des années 1990.
• Un couvert arborescent dense qui comprend une trentaine d’arbres, dont des arbres centenaires et d’essences rares, voire menacées, qui représentent une grande valeur.
• une biodiversité importante à toutes les strates végétales (arbres, buissons, sol, insectes, oiseaux, etc.)
Structure de cogestion
Création d’un parc, un espace vert, cogéré par l’arrondissement et un OBNL du milieu communautaire (ex. Sentier urbain, qui a pour mission le verdissement social et culturel, ou le Centre d’écologie urbaine de Montréal). Sous le modèle de cogestion établi entre l'arrondissement et les Amis du champ des possibles, l’OBNL serait responsable de l’aménagement et de la cogestion du parc avec la communauté (entretien, activités d’interprétation écologique et culturel, etc)
Création d’un parc, un espace vert, cogéré par l’arrondissement et un OBNL du milieu communautaire (ex. Sentier urbain, qui a pour mission le verdissement social et culturel, ou le Centre d’écologie urbaine de Montréal). Sous le modèle de cogestion établi entre l'arrondissement et les Amis du champ des possibles, l’OBNL serait responsable de l’aménagement et de la cogestion du parc avec la communauté (entretien, activités d’interprétation écologique et culturel, etc)
Volet culturel
Il y aurait une bibliothèque ouverte et de partage qui serait alimentée par la communauté et les utilisateurs du parc, où l’on peut y prendre et y laisser un livre. Les sentiers mèneraient à des expositions de photos sur la clôture (rappel du photographe W. Notman). Exposition temporaire de sculptures qui pourraient être faites à partir de matériaux de la nature (art éphémère) qui seraient intégrées à l’environnement du parc. Pour éviter d'endommager la verdure, seulement des oeuvres qui nécessiteraient un encrage minimal seraient considérées.
Il y aurait une bibliothèque ouverte et de partage qui serait alimentée par la communauté et les utilisateurs du parc, où l’on peut y prendre et y laisser un livre. Les sentiers mèneraient à des expositions de photos sur la clôture (rappel du photographe W. Notman). Exposition temporaire de sculptures qui pourraient être faites à partir de matériaux de la nature (art éphémère) qui seraient intégrées à l’environnement du parc. Pour éviter d'endommager la verdure, seulement des oeuvres qui nécessiteraient un encrage minimal seraient considérées.
Aménagement et ameublement
L'aménagement viserait à mettre en valeur le paysage naturel et la quiétude d’une forêt. Il y aurait que des interventions d'aménagement minimalistes (ex. sentier sinueux parmi les arbres). Les meubles seront préférablement des oeuvres design faites en bois, principalement des chaises longues simples. Ainsi, le regard des gens sera dirigé vers la canopée magnifique des arbres anciens caractéristique à ce lieu. De plus, le mobilier incitera à la quiétude et le ressourcement et à des activités comme la lecture, la méditation. Des chaises pliantes amovibles pourraient aussi être mises à disponibilité des gens à condition que la flore ne soit pas abîmée (comme dans les jardins à Paris). Un ou deux éléments d'eau, nécessitant qu’un aménagement minimaliste (ex. fontaine verticale) aideraient à conserver l’ambiance de paix du lieu en masquant le bruit de la circulation urbaine environnante. Les clôtures seraient couvertes de vignes davantage le bruit urbain, masquer la vue sur l’environnement minéralisé alentour (ex. station d’essence), et ainsi créer un effet paisible de « bulle » végétale.
Un seul espace assez large et dégagée pourrait être aménagé pour y accueillir une table, qui servirait en priorité pour les activités du centre d’interprétation. Aussi, ce lieu public pourrait servir aux travailleurs des environs voulant y prendre leur pause du midi, ou aux citoyens voulant y pique-niquer en soirée. La table devra être amovible (aucun encrage en béton) pour être facilement retirée si la quiétude du lieu est menacée par des attroupements bruyants. Le parc serait aussi légèrement éclairé (sentier, arbres) pour assurer la sécurité et créer un lieu enchanteur en soirée.
L'aménagement viserait à mettre en valeur le paysage naturel et la quiétude d’une forêt. Il y aurait que des interventions d'aménagement minimalistes (ex. sentier sinueux parmi les arbres). Les meubles seront préférablement des oeuvres design faites en bois, principalement des chaises longues simples. Ainsi, le regard des gens sera dirigé vers la canopée magnifique des arbres anciens caractéristique à ce lieu. De plus, le mobilier incitera à la quiétude et le ressourcement et à des activités comme la lecture, la méditation. Des chaises pliantes amovibles pourraient aussi être mises à disponibilité des gens à condition que la flore ne soit pas abîmée (comme dans les jardins à Paris). Un ou deux éléments d'eau, nécessitant qu’un aménagement minimaliste (ex. fontaine verticale) aideraient à conserver l’ambiance de paix du lieu en masquant le bruit de la circulation urbaine environnante. Les clôtures seraient couvertes de vignes davantage le bruit urbain, masquer la vue sur l’environnement minéralisé alentour (ex. station d’essence), et ainsi créer un effet paisible de « bulle » végétale.
Un seul espace assez large et dégagée pourrait être aménagé pour y accueillir une table, qui servirait en priorité pour les activités du centre d’interprétation. Aussi, ce lieu public pourrait servir aux travailleurs des environs voulant y prendre leur pause du midi, ou aux citoyens voulant y pique-niquer en soirée. La table devra être amovible (aucun encrage en béton) pour être facilement retirée si la quiétude du lieu est menacée par des attroupements bruyants. Le parc serait aussi légèrement éclairé (sentier, arbres) pour assurer la sécurité et créer un lieu enchanteur en soirée.
Accès
Le parc serait clôturé pour protéger les oeuvres d'art, les meubles design, la flore et la faune, ainsi que la quiétude du quartier résidentiel environnent. Le parc serait accessible le jour et serait fermé au coucher du soleil. L’organisme qui cogèrerait le parc avec l’arrondissement serait responsable d’établir un horaire d’ouverture et d’attribuer les tâches d’ouverture et de fermeture du site aux citoyens et autres commerces ou organismes à proximité (ex. occupants de la Maison Web dans la Maison Notman). Ainsi, le soir, la fermeture à clef du parc et du centre d’interprétation serait assurée. Ce modèle de parc, clôturé et avec un horaire d’ouverture, fonctionne déjà dans le Centre-Sud dans les projets de l’organisme Sentier urbain. D’ailleurs, Pierre Dénommé, fondateur de Sentier urbain, serait intéressé à incorporer le futur parc du Jardin Notman au parcours, déjà existant, des jardins de Sentier Urbain à Montréal.
Le parc serait clôturé pour protéger les oeuvres d'art, les meubles design, la flore et la faune, ainsi que la quiétude du quartier résidentiel environnent. Le parc serait accessible le jour et serait fermé au coucher du soleil. L’organisme qui cogèrerait le parc avec l’arrondissement serait responsable d’établir un horaire d’ouverture et d’attribuer les tâches d’ouverture et de fermeture du site aux citoyens et autres commerces ou organismes à proximité (ex. occupants de la Maison Web dans la Maison Notman). Ainsi, le soir, la fermeture à clef du parc et du centre d’interprétation serait assurée. Ce modèle de parc, clôturé et avec un horaire d’ouverture, fonctionne déjà dans le Centre-Sud dans les projets de l’organisme Sentier urbain. D’ailleurs, Pierre Dénommé, fondateur de Sentier urbain, serait intéressé à incorporer le futur parc du Jardin Notman au parcours, déjà existant, des jardins de Sentier Urbain à Montréal.
Centre d’interprétation - Le 60 Milton
Un garage avec appartement à l’étage, mesurant 10 x 5 m, pourrait servir de centre d’interprétation de la nature et de la biodiversité du parc. Aussi, ce lieu aurait une fonction de salle d’exposition, où serait présenté des éléments soit culturels (ex. photo de William), artistiques, historiques, patrimoniaux. De plus, les livres de la bibliothèque se trouveraient à l’intérieur de la bâtisse. Également, l’appartement à l’étage pourrait loger un « gardien de parc » qui assurait la surveillance du parc. Il se chargerait également du centre d’interprétation et des activités.
Un garage avec appartement à l’étage, mesurant 10 x 5 m, pourrait servir de centre d’interprétation de la nature et de la biodiversité du parc. Aussi, ce lieu aurait une fonction de salle d’exposition, où serait présenté des éléments soit culturels (ex. photo de William), artistiques, historiques, patrimoniaux. De plus, les livres de la bibliothèque se trouveraient à l’intérieur de la bâtisse. Également, l’appartement à l’étage pourrait loger un « gardien de parc » qui assurait la surveillance du parc. Il se chargerait également du centre d’interprétation et des activités.