Valeur culturelle
Le Jardin Notman se trouve au cœur d’un ensemble de maisons et d’institutions qui ont marqué culturellement la ville et la province. Tout d’abord, la maison de William Notman a été le foyer du milieu artistique montréalais. Non seulement l’utilisait-il pour produire ses œuvres photographiques, mais il y organisait aussi des expositions de peintures et de sculptures qui se tenaient dans son immense salle de réception. C’est également dans sa maison qu’ont été fondées l’Association des Beaux-Arts de Montréal et la Société des artistes canadiens.
La Maison Mackenzie-Brydges, voisine de la Maison Notman, a elle aussi servie de lieu d’expositions, presque cent ans plus tard. Habitée par la famille des artistes Claude et Pierre Gauvreau, elle a été le lieu des premières expositions des Automatistes tels que Jean-Paul Riopelle, Paul-Émile Borduas et Marcelle Ferron. C’est dans cette maison qu’ils ont d’ailleurs préparé le Manifeste du Refus Global qui a contribué à changer la société de l’époque.
À un coin de rues se trouvent deux anciens phares de la culture québécoises, soit l’École d’architecture et l’École des Beaux-Arts. C’est dans cette dernière qu’ont notamment enseigné Alfred Pellan, Alfred Laliberté et Frédéric Back. Plusieurs des plus importants artistes canadiens y ont étudiés (Jean-Paul Lemieux, Stanley Cosgrove, Pierre Ayot, Gille Carles, Armand Vaillancourt..).
C’est le célèbre architecte Ernest Cormier qui avait dessiné l’école et son propre studio qui s’élève juste à côté et qui de nos jours accueille des artistes en résidence de création.
Aujourd’hui, le Jardin est le voisin d’institutions artistiques axées sur la technologie tels que le cinéma Excentris et les bureaux de Softimage. La Maison Notman vient également d’accueillir un nouvel incubateur d’idées, la Maison du web, centre d’innovation technologique et du web à Montréal. Cette vocation renouvelée, orientée vers l’avenir, renoue avec le riche passé culturel du secteur, dont le Jardin a fait partie intégrante.
La Maison Mackenzie-Brydges, voisine de la Maison Notman, a elle aussi servie de lieu d’expositions, presque cent ans plus tard. Habitée par la famille des artistes Claude et Pierre Gauvreau, elle a été le lieu des premières expositions des Automatistes tels que Jean-Paul Riopelle, Paul-Émile Borduas et Marcelle Ferron. C’est dans cette maison qu’ils ont d’ailleurs préparé le Manifeste du Refus Global qui a contribué à changer la société de l’époque.
À un coin de rues se trouvent deux anciens phares de la culture québécoises, soit l’École d’architecture et l’École des Beaux-Arts. C’est dans cette dernière qu’ont notamment enseigné Alfred Pellan, Alfred Laliberté et Frédéric Back. Plusieurs des plus importants artistes canadiens y ont étudiés (Jean-Paul Lemieux, Stanley Cosgrove, Pierre Ayot, Gille Carles, Armand Vaillancourt..).
C’est le célèbre architecte Ernest Cormier qui avait dessiné l’école et son propre studio qui s’élève juste à côté et qui de nos jours accueille des artistes en résidence de création.
Aujourd’hui, le Jardin est le voisin d’institutions artistiques axées sur la technologie tels que le cinéma Excentris et les bureaux de Softimage. La Maison Notman vient également d’accueillir un nouvel incubateur d’idées, la Maison du web, centre d’innovation technologique et du web à Montréal. Cette vocation renouvelée, orientée vers l’avenir, renoue avec le riche passé culturel du secteur, dont le Jardin a fait partie intégrante.